Sortie du livre « Vends d’abord, regrette après »
Une fois n’est pas coutume, l’objet de ce mois-ci n’est pas ancien, et n’est pas en Sarreguemines. Mais il comporte 40 ans d’histoires et anecdotes de mon métier d’antiquaire, que je partage dans l’ouvrage qui vient de paraître, « Vends d’abord, regrette après ».
4e de couverture
On raconte dans ma famille que mon arrière-grand-mère maternelle, qui tenait boutique au début des années 1900, avait l’habitude de dire, paraît-il, « Vends d’abord, regrette après ». Une génération plus tard, ma grand-mère maternelle, qui tenait boutique entre les deux guerres mondiales, avait l’habitude de dire, paraît-il, « Vendre c’est facile, ce qui est difficile, c’est de trouver le client ».
Mes petits-enfants, quand ils parleront de leur grand-père, n’auront probablement pas de phrases à citer me concernant. Mais ils pourront peut-être évoquer le plaisir qu’a eu leur grand-père à traverser pendant quarante ans le monde passionnant de l’antiquité, de la brocante, ou comme j’affectionne à les décrire, le monde des vieilleries. Quarante ans, où chaque jour en me levant je n’ai pas eu le sentiment d’aller travailler. Quarante ans de rencontres, d’apprentissage permanent, de surprises et d’émerveillement, quarante ans qui ont passé bien trop vite, tant j’ai envie de continuer à vagabonder dans ce milieu.
Noir & blanc
21cm x 14,8cm
167 pages
15 Euros (+ port
3,40€, Ecopli)